Résumé de section


    • Et si l’on essayait de faire une machine idéale, parfaite ! Quel serait son rendement ? Quelle transformation réaliserait-elle ?

      C’est l’objet de la machine de Carnot. Cette lecture présente la machine idéale et son rendement. Elle s’intéresse aussi à la relation de Clausius, qui permet de prédire le fonctionnement des machines thermiques.


    • Émile Clapeyron, né le 26 janvier 1799 à Paris et mort le 28 janvier 1864 dans la même ville, est un ingénieur et un physicien français.

      Clapeyron, dans son mémoire sur la puissance motrice de la chaleur (1834) améliore et présente sous la forme d’un diagramme, plus accessible, les travaux de Sadi Carnot, mort deux ans auparavant ; il fait valoir la nouveauté et l’importance de ce travail, même si Carnot avait produit e contribution majeure dans les termes de la théorie du calorique et déjà en train de passer de mode. 

      Finalement, Clapeyron développe l’idée de processus réversible, suggérée par Carnot, et donne en 1843 un énoncé que nous connaissons aujourd’hui sous le nom de deuxième principe de la thermodynamique.

      Clapeyron laisse son nom à l’équation de Clapeyron ou de Clausius et Clapeyron, qui fournit la chaleur latente de changement d’état des corps purs. On appelle aussi le diagramme thermodynamique qui montre la pression en fonction du volume, le diagramme de Clapeyron.